EXPOSITION BOZAR 2020

« When business meets art »

ARTICLE DE PRESSE 

Thierry Dubrunfaut immortalise les 125 ans de la FEB

notĂ©lĂ© : SI ON SORTAIT … l’art en entreprise avec Thierry Dubrunfaut

L’art et l’entreprise font-ils bon mĂ©nage? C’est l’objet de notre magazine prĂ©sentĂ© Ă  Bozar (Bruxelles) qui accueille en ce moment les photographies de Thierry Dubrunfaut. Le Tournaisien offreun regard neuf sur le monde des entreprises belges Ă  l’occasion des 125 ans de la FEB (FĂ©dĂ©ration des entreprises de Belgique). “L’art et l’entreprise, deux univers Ă©loignĂ©s et pourtant si complĂ©mentaires”, selon le patron de la FEB, Philippe Lambrecht. Les mots circulent en ville avec le festival de poĂ©sie “Tournai, poĂšte, poĂšte” et “The Melodic Jazz Band” fĂȘte ses 40 ans.

FEB – VBO

Le monde de l’art et de l’industrie sont, Ă  priori, assez Ă©loignĂ©s. Mais entreprendre, c’est innover, crĂ©er, faire la diffĂ©rence. Il n’est donc pas Ă©tonnant que de nombreuses entreprises belges offrent un environnement dynamique, propice Ă  l’inventivitĂ© et Ă  l’imagination artistique. C’est ce qu’a voulu montrer le photographe belge Thierry Dubrunfaut. Ayant dĂ©celĂ© depuis longtemps la puissance des sites industriels belges, il a dĂ©cidĂ© d’en photographier une vingtaine et d’en faire une exposition intitulĂ©e «  BELGIUM INDUSTRIS – STATE OF THE ART ». La FEB – VBO, ayant toujours Ă  cƓur de mettre en avant les nombreux atouts de nos entreprises n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  participer Ă  cette dĂ©marche et Ă  mettre en contact le photographe avec de grandes entreprises et industries belge. Pour Thierry Dubrunfaut, « Les photos reprĂ©sentent non seulement la force industrielle des diffĂ©rents sites mais Ă©galement une approche poĂ©tique, proche de l’abstrait ».

Le vernissage de l’exposition a eu lieu ce jeudi soir Ă  la Young Gallery. Notre Administrateur secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral, Philippe Lambrecht, Ă©tait prĂ©sent lors de cet Ă©vĂ©nement et a rappelĂ© dans sont discours d’introduction le potentiel des entreprises belges et leur force tout en se rĂ©jouissant du mariage rĂ©ussi de l’art et de l’industrie.

FEB – VBO

Le monde de l’art et de l’industrie sont, Ă  priori, assez Ă©loignĂ©s. Mais entreprendre, c’est innover, crĂ©er, faire la diffĂ©rence. Il n’est donc pas Ă©tonnant que de nombreuses entreprises belges offrent un environnement dynamique, propice Ă  l’inventivitĂ© et Ă  l’imagination artistique. C’est ce qu’a voulu montrer le photographe belge Thierry Dubrunfaut. Ayant dĂ©celĂ© depuis longtemps la puissance des sites industriels belges, il a dĂ©cidĂ© d’en photographier une vingtaine et d’en faire une exposition intitulĂ©e «  BELGIUM INDUSTRIS – STATE OF THE ART ». La FEB – VBO, ayant toujours Ă  cƓur de mettre en avant les nombreux atouts de nos entreprises n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  participer Ă  cette dĂ©marche et Ă  mettre en contact le photographe avec de grandes entreprises et industries belge. Pour Thierry Dubrunfaut, « Les photos reprĂ©sentent non seulement la force industrielle des diffĂ©rents sites mais Ă©galement une approche poĂ©tique, proche de l’abstrait ».

Le vernissage de l’exposition a eu lieu ce jeudi soir Ă  la Young Gallery. Notre Administrateur secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral, Philippe Lambrecht, Ă©tait prĂ©sent lors de cet Ă©vĂ©nement et a rappelĂ© dans sont discours d’introduction le potentiel des entreprises belges et leur force tout en se rĂ©jouissant du mariage rĂ©ussi de l’art et de l’industrie.

Editions Racine, couverture tissu et jaquette imprimée, 160 pages. 120 photographies couleurs et noir & blanc, format 30 x 24 cm. Edition trilingue : français, anglais et néerlandais.

L’AVENIR

« Une expo à la gloire des fleurons industriels »

Si vous ĂȘtes de passage Ă  Bruxelles, nous ne saurons que trop vous conseiller d’aller faire un tour du cĂŽtĂ© de la trĂšs chic avenue Louise. La renommĂ©e galerie Young accueillera en effet, des ce vendredi jusqu’au 15 mars, une exposition photos de Thierry Dubrunfaut, laquelle montrera la force, la grandeur et le dynamisme du monde industriel belge. « J’ai moi mĂȘme Ă©tĂ© surpris de voir que notre si petit pays pouvait receler une activitĂ© industrielle trĂšs puissante et d’ampleur internationale. Si je prends l’exemple d’Imbev, il s’agit ni plus ni moins du premier fabricant de biĂšre au monde avec un bĂ©nĂ©fice gĂ©nĂ©rĂ© de plus de trois milliards».

L’ Ă©vĂ©nement sera l’occasion pour l’artiste de faire dĂ©couvrir au public une sĂ©lection de clichĂ©s reprenant les vingt plus grandes industries belges. Ce travail de longue haleine a amenĂ© le photographe Ă  sillonner toute la Belgique. Du gĂ©ant « Total » Ă  l’enseigne « L’OrĂ©al » en passant par des fleurons tels que « Callebaut » ou encore « BASF », l’artiste a essentiellement voulu faire ressortir sa vision abstraite des choses Ă  travers ses Ɠuvres.

« Je suis quelqu’un de trĂšs graphique dans ma façon de travailler. Pour moi , les images, c’est un peu comme la vie, elles sont pleines de lignes, de courbes et de couleur. Quand le public regarde mes photos, l’idĂ©e est de l’emmener vers autre chose que le sujet brut », explique Thierry Dubrunfaut, qui a publiĂ© en 2008 un livre de photos industrielles sur le port d’Anvers.

IMAGES Magazine

«On cherche en vain les marins chantĂ©s en son temps par Jacques Brel au port voisin d’Amsterdam : La description que Thierry Dubrunfaut donne des quais d’Anvers s’engouffre dans la dimension fantastique d’un univers qui aurait aboli l’échelle humaine. Dans leur tonalitĂ© bleue, ses images en couleur embrasse l’enchevĂȘtrement des installations portuaires, la masse des cargaisons, le gigantisme des cargos. Long poĂšme photographique Ă©ditĂ© Ă  l’italienne, cette Ă©tude alterne les genres, l’artĂ©fact gracieux de la surimpression, l’évocation superbe et dense d’un noir et blanc vouĂ© Ă  la matiĂšre et Ă  la technicitĂ©. En fin de volume, les images en vignettes accompagnĂ©es de leurs lĂ©gendes : Les titres sont simplement les noms des sociĂ©tĂ©s implantĂ©es dans cette citadelle industrielle. Total, Air liquide, Basf, Petroplus ou Solvay, 
 Thierry Dubrunfaut trace en filigrane l’image des acteurs contemporains d’un havre de lĂ©gende. Un kalĂ©idoscope finement reliĂ©.»

ART & METIERS DU LIVRE

« Voici un livre qui convertirait les plus rĂ©fractaires Ă  l’esthĂ©tique des sites industriels ! Pour son livre, Thierry Dubrunfaut a choisi de poser son appareil photo dans le port d’Anvers, oĂč transitent chaque annĂ©e quelque 160 millions de tonnes de marchandises. Les cadres sont sobres, le style dĂ©pouillĂ©, les photographies souvent monochromes. Tout n’est que machines, caisses, grues et vannes, toute trace humaine est effacĂ©e, mais il se dĂ©gage de ce paysage que l’on a si peu l’habitude d’observer une poĂ©sie et un raffinement tout Ă  fait inattendus. On se prend Ă  admirer la majestueuse puissance d’un cargo, l’alignement colorĂ© des containers, le mĂ©tallique labyrinthe des tuyauterie d’usines
 Convaincu qu’il faut regarder autrement  pour apprĂ©cier ce qui nous entoure, il nous renvoie Ă  cette capacitĂ© qui nous est propre Ă  imaginer, Ă  faire naĂźtre du nouveau et de l’imprĂ©visible dans le monde dans lequel nous vivons. Cette autre vision, esthĂ©tique du moins, de notre sociĂ©tĂ© occidentale hyperindustrialisĂ©e, oĂč se mĂȘlent fascination et dramaturgie, ne laisse pas indiffĂ©rent. »

ARTE – Journal de la culture     

« Et alors, vous pensez Ă  quoi quand on vous parle du port d’Anvers ?    

– THIERRY DUBRUNFAUT : “Pas Ă  grand chose, en tout cas peut-ĂȘtre pas au ballet des cargos, Ă  la valse bariolĂ©e des containers, aux kilomĂštres de tuyaux genre «  Guerre des Ă©toiles » , ou raffineries ambiance station lunaire
”

Eh bien, Thierry Dubrunfaut a pensé pour nous, et photographié aussi. Dubrunfaut est belge, surtout curieux, et la poésie, ça commence souvent par la curiosité. »

AD    

«L’envers du dĂ©cor. «De la ville d’Anvers, le photographe belge Thierry Dubrunfaut a voulu cĂ©lĂ©brer le port. Toile de fond d’un thĂ©Ăątre nostalgique oĂč ferraille, bouts de cargo, entrepĂŽts et containers composent le puzzle d’une architecture Ă  la MĂ©tropolis.»

LES ECHOS  

«Le port d’Anvers revisitĂ©

Un album de photographies rĂ©cemment publiĂ© dĂ©voile les coulisses du port d’Anvers.

Quand David rencontre Goliath.

A travers la brume qui caractĂ©rise si bien cet endroit, le port d’Anvers s’ouvre volontiers Ă  celui qui accepte d’y pĂ©nĂ©trer et de dĂ©couvrir les mĂ©andres de ce poumon Ă©conomique belge et plus largement europĂ©en. DeuxiĂšme port europĂ©en, Anvers accueille en effet chaque annĂ©e quelques 15 000 bateaux de mer et plus de 64 000 bateaux de navigation intĂ©rieure. Environ 145 000 personnes vivent directement ou indirectement du port d’Anvers. Si l’endroit n’a vraiment rien d’un endroit touristique, il offre nĂ©anmoins, pour qui sait observer, un ballet quotidien. Savant mĂ©lange de gestes prĂ©cis rĂ©alisĂ©s par les grues gĂ©antes et autres chariots Ă©lĂ©vateurs chargeant et dĂ©chargeant les gĂ©ants des mers venus trouver pour quelques heures la rassurante protection d’un port. En tĂ©moin silencieux, le photographe Thierry Dubrunfaut livre avec ses clichĂ©s une vision quelque peu surnaturelle de ce lieu avec des images traitĂ©es chimiquement pour leur donner un aspect surnaturel, abstrait. Un portait de port dĂ©pourvu de prĂ©sence humaine, remplacĂ©e par la puissance des machines et la masse imposante des tankers.»

DROUOT magazine  

« Dans son premier livre intitulé »Port of Antwerp » qui paraĂźt aux Ă©ditions Racine, Thierry Dubrunfaut dĂ©cline la magistrale poĂ©sie industrielle du port d’Anvers en 120 photographies noir et blanc. L’auteur s’exprime dans un style dĂ©pouillĂ© qui trouve sa rĂ©sonance dans des cadrages sobres et raffinĂ©s ou lignes, trajectoires, matiĂšres et monochromies soulignent la force d’expression de ce site d’exception. Thierry Dubrunfaut capte l’irrĂ©alitĂ© d’un lieu ou l’homme a fini par disparaĂźtre, Ă©crasĂ© par le gigantisme. Il devient le photographe de plateau d’un film oĂč le dĂ©cor est passĂ© acteur. Ses vues aĂ©riennes, maritimes et terriennes en tĂ©moignent. Elles traquent « le supplĂ©ment d’ñme » de la ferraille portuaire, des Ă©lĂ©ments d’usines, des architectures Ă  la « MĂ©tropolis », et elles le trouvent ! Machines, entrepĂŽts, bateaux, conteneurs, matĂ©riaux et marchandises diverses sont Ă©clairĂ©s par le bleu de la mer du Nord qui s’exprime ici Ă  travers ses nuances. »

FRANCE PHOTOGRAPHIE

«Le port d’Anvers prend des allures irrĂ©elles au travers des photographies de Thierry Dubrunfaut. Dans un enchevĂȘtrement de lignes et de courbes, il transcende cet outil industriel brut et froid qu’est le port d’Anvers pour nous dĂ©peindre un paysage au monochrome de bleu subtil. Il en dĂ©gage une vision singuliĂšre, expressionniste et fantomatique. OpacitĂ© et transparence, apparente rĂ©alitĂ© et apparence, telles sont les photographies rĂ©alisĂ©es par l’auteur qui nous fait comprendre qu’il faut regarder autrement les choses qui nous entourent.»

LE PHOTOGRAPHE

«Premier livre de Thierry Dubrunfaut “Port of Antwerp”  ( Le port d’Anvers ) se veut, au dires de son auteur, un hymne poĂ©tique sur les signes d’un port. Ses vues aĂ©riennes, maritimes et terriennes traquent la ferraille portuaire, des Ă©lĂ©ments d’usines, des architectures. Et, tour Ă  tour, des machines, des entrepĂŽts, des containers, des matĂ©riaux et des bateaux Ă©clairĂ©s par la mer du nord. Mais pour Thierry Dubrunfaut Port of Antwerp «s’éloigne aussi de la tendance informatique actuelle pour rendre hommage Ă  l’argentique et Ă  la photo d’art».»

REPONSE PHOTO

MONOCHROMIE «Pour son ouvrage, Thierry Dubrunfaut, photographe spĂ©cialisĂ© dans la publicitĂ©, a choisi de faire du port d’Anvers un sujet de crĂ©ation artistique. Ce site industriel devient ici une source d’inspiration pour un travail presque exclusivement monochrome basĂ© sur les lignes et les courbes. Un bel effort de composition.»

DECLIC PHOTO Magazine

«Cette Ă©dition trilingue ( français, anglais, allemand ) dresse avec grĂące et poĂ©sie le portrait du port d’Anvers. Quand les vues gĂ©nĂ©rales retracent l’activitĂ© du second port europĂ©en, les gros plans exposent les machines qui facilitent la vie et le travail des hommes, grands absents de cette reprĂ©sentation qui ne manque toutefois pas de vie. Les jeux de transparences et de superpositions de ces monochromes bleus font tendre les images vers l’abstraction, tandis que les enchevĂȘtrements de cuves et de tuyaux prennent une toute autre signification.»

PHOTOGRAPHIE.com     

«Dans son livre «  le port d’Anvers «  qui paraĂźt aux Ă©ditions Racine, Thierry Dubrunfaut dĂ©cline la magistrale poĂ©sie industrielle du port d’Anvers en 120 photographies couleurs et noir et blanc. L’auteur s’exprime dans un style dĂ©pouillĂ© qui trouve sa rĂ©sonance dans les cadrages sobres et raffinĂ©s oĂč les lignes, trajectoires, matiĂšres et monochromies soulignent la force de l’expression de ce site exceptionnel. Thierry Dubrunfaut capte l’irrĂ©alitĂ© d’un lieu oĂč l’homme a fini par disparaĂźtre, Ă©crasĂ© par le gigantisme. Il devient le photographe de plateau d’un film oĂč le dĂ©cor est passĂ© acteur. Ses vues aĂ©riennes, maritimes et terriens en tĂ©moignent. Elles traquent ” le supplĂ©ment d’ñme”  de la ferraille portuaire, des Ă©lĂ©ments d’usines, des architectures Ă  la   “MĂ©tropolis” et elles le trouvent !  Machines, entrepĂŽts, bateaux, containers, matĂ©riaux et marchandises diverses sont Ă©clairĂ©s par le bleu de la mer du nord qui s’exprime ici Ă  travers toutes ses nuances. La force de chaque photographie prend son essor dans l’utilisation dynamique du paysage observĂ©, des formes et des matiĂšres qui le composent. Chacune nous plonge dans un Ă©trange Ă©tat Ă©motionnel, oĂč jouent tour Ă  tour la fascination pour l’outil industriel brut et l’inextinguible dramaturgie qui s’en dĂ©gage.»

Facebook
Instagram